Confesseur ...
Je
ne puis être qu’un voyeur
Qui
reluque vos rondeurs
Sans
mériter le bonheur
De
conquérir votre cœur
Je
regarde votre cul
qui
chaloupe dans la rue
Magnifique
aperçu
Que
vous offrez à ma vue
J’en
deviens si ému
Qu’un
curieux trouble diffus
M’accapare,
trop confus
À
en avoir la berlue
J’admire
vos belles fesses
Bien
plus douces qu’une promesse
Toutes
en délicatesses
Elles
se veulent enchanteresses
Mais
me mettent en détresse
Moi
qui réclame tendresse
Dans
les bras d’une ogresse
Refusant
mes caresses
Je
lorgne sur vos deux seins
Ces
magnifiques écrins
Qui
se tendent à mes mains
Dans
des désirs de gredins
Vous
repoussez ce dessein
Que
vous jugez fort malsain
Vous
rebroussez le chemin
Fuyant
ce vil muscadin
Je
vois s’enfuir ce beau corps
Le
cœur rempli de remords
Je
m’étais fait matamore
Pour
obtenir votre Amor
Me
voilà plus seul alors
Recherchant
dans ce décor
L’étoile
qui m’indique le nord
Pour
vous retrouver encore
Pourquoi en effet s'interdire le spectacle de la plus belle créature que la nature a enfanté pour satisfaire notre regard ... et d'avantage si affinités.
RépondreSupprimerInconnu
RépondreSupprimerAffinons, raffinons, confinons et l'affinité ira de soi