La version de Rohan
Rue des trois
pucelles
Y’avait une
donzelle
Qu’aurait
donné son corps
Pour une
pièce en or
Mais son
modeste cul
Ne valait
qu’un écu
Mais son
modeste cul
Ne méritait
pas plus
Elle y
comblait pourtant
Tout ses
nombreux amants
Qu’elle eut
bien mérité
D’être
récompensée
Hélas chez
les manants
On n’a
guère d’argent
Hélas chez
les manants
On est fauché
tout l’temps
Si elle s’en
contentait
C’est
qu’elle se doutait
Y mettant
tout son cœur
D’leur
donner du bonheur
Bien plus
qu’leurs épouses
Frigides et
jalouses
Bien plus
qu’leurs épouses
Quand elles
quittent leu’ blouses
Elle était
généreuse
Ses formes
avantageuses
Promettaient
du plaisir
Pour qui aime
à jouir
De la
satisfaction
Tout le temps
de l’action
De la
satisfaction
Sans aucune
exception
De son pauvre
tarif
Bien peu
prohibitif
Elle tirait
malgré tout
D’quoi
joindre les 2 bouts
C’est un
sacré turbin
Que celui de
putain
C’est un
sacré turbin
Le métier de
catin
Rue des Trois
pucelles
Ils sont
venus vers elle
Trois
charmants matelots
Oh dieu
qu’ils étaient beaux
Elle se donna
par jeu
Pour encore
moins que peu
Elle se donna
par jeu
Et partit
avec eux
Elle se donna
par jeu
Et partit
avec eux
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