jeudi 16 décembre 2021

Par dépit : cure de soupçons

 


1, 2, 3 Corps aux abois

4, 5, 6 Tous ces bénéfices

7, 8, 9 Dans un seul œuf

10, 11, 12 Les mains dans le flouze





L'injonction à l'injection a fini par cacher les questions éthiques, morales et financières. Si la peur n'exclut pas le danger, elle n'écarte pas l'idée que faire de l'argent à outrance demeure la priorité des philanthropes actionnaires des laboratoires pharmaceutiques. Pour asseoir leurs profits, ces généreux donateurs n'hésitent nullement à arroser les décideurs politiques selon la fameuse théorie du ruissellement qui n'est efficace qu'à dose homéopathique. Cibler les bénéficiaires est la règle d'or de cette pratique indécente.


Le libéralisme repose sur la libre concurrence, la rivalité des acteurs afin que les prix ne s'envolent pas et profitent à tous. C'est naturellement un principe qui suppose des exceptions quand l'heure est grave et qu'il importe de se serrer les coudes, ces fameux premiers boucliers de la pandémie. L'important, c'est la dose, celle qui sortira l'humanité d'un danger dont on s'interroge encore sur l'origine réelle.


Au début, tout nouveau tout beau, plusieurs officines se sont placées sur la ligne de départ afin de multiplier les chances de réussir ce sauvetage miraculeux. Des champions de la célérité ont franchi la ligne avant les autres, ils venaient de décrocher le cocotier. Leur juste récompense, de somptueux bénéfices car l'intérêt des masses ne doit jamais faire oublier les dividendes à distribuer.


Dans cette indécente course au profit, une société s'est illustrée. Pfizer n'a pas imité ses rivaux en baissant les prix, bien au contraire. Fort d'une supériorité supposée, déclarée par des experts sous la goulotte, la valse des bénéfices a été préférée à la vaccination des habitants des pays pauvres. L'argent n'a pas d'odeur paraît-il mais il a la couleur de la honte et de l'ignominie.


Pour enfoncer le clou et la seringue, la société Pfizer, le cœur sur la main mais jamais la main sur le cœur prétend que la troisième dose favorisera la protection de tous, y compris ceux qui sont passés par des sociétés concurrentes. Nous arrivons progressivement à une situation de monopole largement favorisée par des instances européennes et tricolores, largement complices de ce qui relève d'une corruption à grande échelle.


La loi, la menace, l'apartheid sanitaire se mettent en branle pour favoriser le seul vaccin qui vaille. Le choix n'est plus permis de fait, le conseil scientifique décrète un choix qui favorisera encore plus des gens qui amassent une véritable fortune sur la misère et la mort. C'est à vomir. On peut légitimement accuser les élus qui se trouvent dans les allées du pouvoir de Prévarication.


Nous savions que le monde de la pharmacie et de la chimie est le plus corrupteur au monde, nous découvrons atterrés que la santé des gens passe après la richesse de quelques-uns. Quand ceci se fait avec la complicité active de notre gouvernement, on comprend que ce monde n'a aucune valeur morale.


Si la fameuse troisième dose s'impose avant les piqûres de rappel pour favoriser la rente, alors pourquoi ne pas avoir le choix du vaccin ? Une commission d'enquête citoyenne s'impose pour mettre en lumière les dessous de ce qui relève du scandale financier le plus grave de l'époque. Faire du fric à tout prix sur le dos des citoyens du monde, voilà le seul dessein de ceux qui nous dirigent dans les plus grandes instances.


À contre-jour.



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